Midi
Quand l’aube se dérobe à mon corps endormi
J’ouvre un œil en plein jour, il est déjà midi
Elle ouvre un des volets, le soleil l’examine
Et ravit sa peau tendre à la douceur divine
La loi à l’œuvre ici
Sans pitié sans merci
Mais elle rayonne encore
De la fête de nos corps
La passion sans fin pour l’autre corps,animé par cette âme soeur qui sans doute aucun,connaît notre jeunesse éternelle,
salut à toi Stéphane.
Dernière publication sur Chasseur d'Images Spirituelles : La vie est bien triste à ce jour