Fortuné
Cesse de geindre et laisse dégonfler la baudruche
Qui joue tres bien son rôle de poulet et d’autruche
Que tu nommes du nom que la poule aux œufs d’or
T’as donné: arriviste de la foi qui endort
Tu te caches la tête dans des pensées sans fin
Ouvre toi et aère ton antre aux mille parfums
Retrouve ta jeunesse et l’esprit d’aventure
Dans la vrai vie avance et relève la gageure
Désormais tu t’appelles Fortuné
Car la vie au centuple te rend
Ta mise de départ: mille deniers
Tu goûtes, tu vois et tu entends
Se plaindre un instant
fait gagner du temps
pour son souffle retrouver
et droit se relever.
Se plaindre tous les jours
est mortel toujours
raison-volonté sont brisées
et on ne voit plus la Beauté.
Regardons donc la Nature
Croyons à la Providence
que nos rêves dansent
que nos forces durent…
Ta journée soit agréable Stéphane
Amicalement, Anne
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