Ma Maîtresse
Allongée sur le sable, Le soleil agréable Lui donne un goût de sel Et de blond caramel. Je lui lèche l’oreille Et aussi les orteils Ma déesse, ma maîtresse Celle qui me tient en laisse. Quand soudain je m’assois Car le maître voilà. Je ne peux que faire face À ce qu’il prenne ma place